Le Centre de prévention du suicide de Lanaudière (CPSL) vous propose de mesurer votre connaissance de la problématique du suicide en répondant aux questions suivantes. Pour lire les réponses, cliquer sur la question.

La personne suicidaire ne souhaite pas mourir. Elle désire mettre fin à la souffrance intolérable engendrée par une situation ou une condition pour laquelle elle ne voit plus de solution.
Non! La personne qui parle de suicide doit toujours être prise au sérieux. C’est sa façon, bien qu’inadéquate, de dire qu’elle souffre et qu’elle a besoin d’aide.
Pour une personne suicidaire, il n’y a ni courage ni lâcheté. Ne voyant plus de choix pour sortir d’une situation qui lui est intolérable, elle y voit une façon d’éliminer la souffrance.
Il y a toujours des signes précurseurs qui sont malheureusement méconnus et, quelquefois, difficiles à percevoir. Dans le doute, contactez un intervenant spécialisé en prévention du suicide au 1 866 APPELLE.
Non! Bien que la plupart d’entre elles soient en période dépressive, toutes n’affichent pas nécessairement des signes de dépression. Un sourire ou un air insensible peuvent parfois cacher une grande tristesse et des idées suicidaires.
Non! On ouvre plutôt la porte à l’expression de sa souffrance et on lui démontre qu’il n’est pas seul. Le suicide est, encore aujourd’hui, un sujet tabou. Pourtant, en parler permet de le démystifier, à condition de le faire avec prudence. On doit toujours éviter de banaliser le geste ou de glorifier quelqu’un qui s’est enlevé la vie.